L’Hotel Bowmann présente son menu du marché

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L’Hotel Bowmann présente son menu du marché

L’Hotel Bowmann présente son Menu du Marché : une ode à la saisonnalité et au raffinement

Au cœur de Paris, l’Hotel Bowmann invite ses hôtes à un véritable voyage culinaire avec son Menu du Marché, une carte pensée pour célébrer les produits frais et de saison, dans un esprit à la fois élégant et gourmand.

Chaque plat est une rencontre subtile entre saveurs authentiques et créativité contemporaine. Le chef puise directement dans les étals des marchés parisiens, sélectionnant les meilleurs ingrédients pour proposer des compositions qui changent au fil des saisons, surprenant à chaque visite. Du premier amuse-bouche délicat aux desserts raffinés, chaque bouchée est une expérience sensorielle où texture, couleur et parfum s’harmonisent avec une précision toute luxueuse.

Le Menu du Marché de l’Hotel Bowmann ne se contente pas de nourrir : il raconte une histoire.

Chaque assiette devient un tableau, où le végétal, le poisson et la viande se répondent dans une chorégraphie subtile, sublimée par des sauces inventives et des associations audacieuses. Le tout est servi dans une atmosphère chaleureuse et feutrée, typique de l’élégance parisienne, où le design contemporain dialogue avec le confort raffiné.

Pour les amateurs de gastronomie raffinée et de découvertes saisonnières, ce menu est une invitation à se laisser porter par le rythme de la nature et la créativité du chef, tout en profitant du cadre élégant et intimiste de l’Hotel Bowmann.

Une expérience qui transforme un simple repas en un moment de luxe à savourer pleinement.

99

.
Brandade de Merlu croustillante ,
Velours de courgette, citron, tomate pimenté et olive
.
b

L’entrée en scène est dorée et légère.
La brandade de merlu, rendue croustillante à l’extérieur, s’ouvre comme une promesse : celle d’un cœur moelleux et nacré, caresse iodée qui rappelle la mer au petit matin. Sa croûte fine évoque le soleil qui dore les filets fraîchement sortis de l’eau.

Puis la douceur s’installe.
Un velours de courgette enveloppe le palais de ses notes tendres et végétales, comme un souffle chaud et apaisant venu d’un potager d’été. Une onctuosité délicate qui met en valeur la pureté du poisson sans jamais la dominer.

Vient alors le réveil des sens.
Le citron jaillit, éclat vif et lumineux, tranchant dans l’équilibre, comme une étincelle de fraîcheur méditerranéenne. La tomate pimentée s’invite en contrepoint, ardente mais maîtrisée, éveillant doucement le feu des épices. L’olive, enfin, conclut la partition d’une touche sombre et salée, signature des rivages du Sud.

Ce plat compose une fresque sensorielle.
Il raconte la rencontre du large et des jardins, du croustillant et du soyeux, de la fraîcheur et de l’intensité. Une ode au Sud, où chaque bouchée dessine le paysage d’une côte ensoleillée, entre mer bleue et terres fertiles.

.

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Tortelli de Veau,
Céleri rave, consommé  clair au gingembre et à la citronnelle

Le prélude est tendre, rassurant.
La pâte soyeuse des tortelli enferme un cœur de veau délicatement mijoté. La chair fondante se love dans l’écrin doré, et déjà s’exprime une chaleur gourmande, réconfortante, comme un retour à la tradition italienne dans sa plus noble simplicité.

Puis surgit l’élan végétal.
Le céleri-rave, racine au parfum noble, se déploie en notes douces et légèrement terreuses. Sa texture subtile équilibre la générosité du veau, lui apportant profondeur et équilibre. On y perçoit une sagesse rustique, presque boisée, qui donne assise au plat.

Enfin, le souffle aérien.
Le consommé clair au gingembre et à la citronnelle s’invite comme une brise venue d’Asie. Sa limpidité surprend : piquant frais, vivacité citronnée, éclat lumineux qui vient alléger la densité du duo précédent. Chaque gorgée élance le palais vers une dimension nouvelle, énergique et vibrante.

Ainsi s’écrit une partition à trois voix.
Le terroir italien du veau et de la pasta, l’ancrage racinaire du céleri, et l’exotisme volatile du bouillon parfumé.
Une rencontre entre mémoire et modernité, terre et air, profondeur et élévation.
Un plat qui ne se contente pas de nourrir : il raconte un voyage intérieur, du foyer chaleureux à l’horizon lointain.

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paleron
 .
Paleron de Boeuf,
Laqué  à la sauce BBQ, sucrine braisée, pomme paille

L’ouverture est sombre, profonde.
Le paleron, morceau noble des cuissons lentes, révèle une texture moelleuse, presque confite. Sa chair se détache avec élégance, nappée d’un glaçage BBQ qui mêle douceur caramélisée, fumée subtile et accents d’épices. C’est la mémoire du feu, la caresse d’un brasier dompté.

Puis vient la note verte, inattendue.
La sucrine, humble laitue devenue braisée, change de registre. Ses feuilles serrées se parent d’un goût légèrement grillé, presque noisette, tout en conservant leur fraîcheur végétale. Elle fait le lien entre la puissance carnée et la légèreté du jardin.

Enfin, la touche croustillante.
La pomme paille, fine et dorée, croque sous la dent comme une étincelle joyeuse. Elle apporte le relief, le contraste de texture qui vient sublimer la tendresse du bœuf et l’onctuosité de la sucrine.

En trio, ces éléments composent une partition terrienne et chaleureuse.
Le bœuf raconte la profondeur des terres, la sucrine l’élan du végétal, et la pomme paille l’espièglerie du feu de cuisine. Ensemble, ils réinventent une assiette familière en un récit de force et d’équilibre, où chaque bouchée dialogue entre puissance, douceur et vivacité.

.

La Figue noire,
Rôtie au sautoir, biscuit roulé, sorbet fraise , sauce au Porto

Élégance fruitée et chaleur méditerranéenne
Le premier contact séduit par la figue noire, délicatement rôtie au sautoir. Sa chair fondante libère un parfum sucré et légèrement caramélisé, évoquant les étés chauds et lumineux du Sud. L’acidité subtile de la figue s’entrelace avec la douceur des sucres naturels, créant un équilibre délicat entre intensité et légèreté.

Puis surgit la gourmandise feutrée du biscuit roulé, moelleux et aérien. Sa texture enveloppante apporte une rondeur confortable, comme une caresse sucrée qui contrebalance la vivacité du fruit. À côté, le sorbet fraise surprend par sa fraîcheur vive et fruitée, une pointe d’acidité qui éveille les papilles et apporte un souffle printanier au cœur de la composition.

Enfin, la sauce au Porto complète l’ensemble, profonde et veloutée, riche en notes de fruits rouges confits et d’épices douces. Elle agit comme un fil conducteur, liant les éléments et révélant une harmonie subtile entre chaleur, douceur et éclat fruité.

Ce dessert raconte un voyage sensoriel entre la douceur solaire de la figue et la fraîcheur éclatante de la fraise, où la gourmandise se fait poésie. Chaque bouchée est une invitation à savourer le temps, à explorer la sensualité des textures et à se laisser transporter par un mariage parfait entre fruité, douceur et élégance liquoreuse.

Hôtel Bowmann

Petit-déjeuner, du lundi au vendredi de 07h à 10h30, week-end de 07h à 11h30.

Déjeuner, du lundi au vendredi : de 12h à 14h

Dîner, du lundi au dimanche : de 19h à 22h

99 boulevard Haussmann Paris 8ème

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L’Hotel Bowmann présente son menu du marché

L’Hotel Bowmann présente son menu du marché L’Hotel Bowmann présente son Menu du Marché : une ode à la saisonnalité et au raffinement Au cœur de Paris, l’Hotel Bowmann invite ses hôtes à un véritable voyage culinaire avec son Menu du Marché, une carte pensée pour célébrer les produits frais et de saison, dans un […]

L’Hotel Bowmann présente son menu du marché
Christel Engström
GASTRONOMIE
Christel Engström

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L’Hotel Bowmann présente son menu du marché

L’Hotel Bowmann présente son Menu du Marché : une ode à la saisonnalité et au raffinement

Au cœur de Paris, l’Hotel Bowmann invite ses hôtes à un véritable voyage culinaire avec son Menu du Marché, une carte pensée pour célébrer les produits frais et de saison, dans un esprit à la fois élégant et gourmand.

Chaque plat est une rencontre subtile entre saveurs authentiques et créativité contemporaine. Le chef puise directement dans les étals des marchés parisiens, sélectionnant les meilleurs ingrédients pour proposer des compositions qui changent au fil des saisons, surprenant à chaque visite. Du premier amuse-bouche délicat aux desserts raffinés, chaque bouchée est une expérience sensorielle où texture, couleur et parfum s’harmonisent avec une précision toute luxueuse.

Le Menu du Marché de l’Hotel Bowmann ne se contente pas de nourrir : il raconte une histoire.

Chaque assiette devient un tableau, où le végétal, le poisson et la viande se répondent dans une chorégraphie subtile, sublimée par des sauces inventives et des associations audacieuses. Le tout est servi dans une atmosphère chaleureuse et feutrée, typique de l’élégance parisienne, où le design contemporain dialogue avec le confort raffiné.

Pour les amateurs de gastronomie raffinée et de découvertes saisonnières, ce menu est une invitation à se laisser porter par le rythme de la nature et la créativité du chef, tout en profitant du cadre élégant et intimiste de l’Hotel Bowmann.

Une expérience qui transforme un simple repas en un moment de luxe à savourer pleinement.

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Brandade de Merlu croustillante ,
Velours de courgette, citron, tomate pimenté et olive
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L’entrée en scène est dorée et légère.
La brandade de merlu, rendue croustillante à l’extérieur, s’ouvre comme une promesse : celle d’un cœur moelleux et nacré, caresse iodée qui rappelle la mer au petit matin. Sa croûte fine évoque le soleil qui dore les filets fraîchement sortis de l’eau.

Puis la douceur s’installe.
Un velours de courgette enveloppe le palais de ses notes tendres et végétales, comme un souffle chaud et apaisant venu d’un potager d’été. Une onctuosité délicate qui met en valeur la pureté du poisson sans jamais la dominer.

Vient alors le réveil des sens.
Le citron jaillit, éclat vif et lumineux, tranchant dans l’équilibre, comme une étincelle de fraîcheur méditerranéenne. La tomate pimentée s’invite en contrepoint, ardente mais maîtrisée, éveillant doucement le feu des épices. L’olive, enfin, conclut la partition d’une touche sombre et salée, signature des rivages du Sud.

Ce plat compose une fresque sensorielle.
Il raconte la rencontre du large et des jardins, du croustillant et du soyeux, de la fraîcheur et de l’intensité. Une ode au Sud, où chaque bouchée dessine le paysage d’une côte ensoleillée, entre mer bleue et terres fertiles.

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Tortelli de Veau,
Céleri rave, consommé  clair au gingembre et à la citronnelle

Le prélude est tendre, rassurant.
La pâte soyeuse des tortelli enferme un cœur de veau délicatement mijoté. La chair fondante se love dans l’écrin doré, et déjà s’exprime une chaleur gourmande, réconfortante, comme un retour à la tradition italienne dans sa plus noble simplicité.

Puis surgit l’élan végétal.
Le céleri-rave, racine au parfum noble, se déploie en notes douces et légèrement terreuses. Sa texture subtile équilibre la générosité du veau, lui apportant profondeur et équilibre. On y perçoit une sagesse rustique, presque boisée, qui donne assise au plat.

Enfin, le souffle aérien.
Le consommé clair au gingembre et à la citronnelle s’invite comme une brise venue d’Asie. Sa limpidité surprend : piquant frais, vivacité citronnée, éclat lumineux qui vient alléger la densité du duo précédent. Chaque gorgée élance le palais vers une dimension nouvelle, énergique et vibrante.

Ainsi s’écrit une partition à trois voix.
Le terroir italien du veau et de la pasta, l’ancrage racinaire du céleri, et l’exotisme volatile du bouillon parfumé.
Une rencontre entre mémoire et modernité, terre et air, profondeur et élévation.
Un plat qui ne se contente pas de nourrir : il raconte un voyage intérieur, du foyer chaleureux à l’horizon lointain.

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paleron
 .
Paleron de Boeuf,
Laqué  à la sauce BBQ, sucrine braisée, pomme paille

L’ouverture est sombre, profonde.
Le paleron, morceau noble des cuissons lentes, révèle une texture moelleuse, presque confite. Sa chair se détache avec élégance, nappée d’un glaçage BBQ qui mêle douceur caramélisée, fumée subtile et accents d’épices. C’est la mémoire du feu, la caresse d’un brasier dompté.

Puis vient la note verte, inattendue.
La sucrine, humble laitue devenue braisée, change de registre. Ses feuilles serrées se parent d’un goût légèrement grillé, presque noisette, tout en conservant leur fraîcheur végétale. Elle fait le lien entre la puissance carnée et la légèreté du jardin.

Enfin, la touche croustillante.
La pomme paille, fine et dorée, croque sous la dent comme une étincelle joyeuse. Elle apporte le relief, le contraste de texture qui vient sublimer la tendresse du bœuf et l’onctuosité de la sucrine.

En trio, ces éléments composent une partition terrienne et chaleureuse.
Le bœuf raconte la profondeur des terres, la sucrine l’élan du végétal, et la pomme paille l’espièglerie du feu de cuisine. Ensemble, ils réinventent une assiette familière en un récit de force et d’équilibre, où chaque bouchée dialogue entre puissance, douceur et vivacité.

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La Figue noire,
Rôtie au sautoir, biscuit roulé, sorbet fraise , sauce au Porto

Élégance fruitée et chaleur méditerranéenne
Le premier contact séduit par la figue noire, délicatement rôtie au sautoir. Sa chair fondante libère un parfum sucré et légèrement caramélisé, évoquant les étés chauds et lumineux du Sud. L’acidité subtile de la figue s’entrelace avec la douceur des sucres naturels, créant un équilibre délicat entre intensité et légèreté.

Puis surgit la gourmandise feutrée du biscuit roulé, moelleux et aérien. Sa texture enveloppante apporte une rondeur confortable, comme une caresse sucrée qui contrebalance la vivacité du fruit. À côté, le sorbet fraise surprend par sa fraîcheur vive et fruitée, une pointe d’acidité qui éveille les papilles et apporte un souffle printanier au cœur de la composition.

Enfin, la sauce au Porto complète l’ensemble, profonde et veloutée, riche en notes de fruits rouges confits et d’épices douces. Elle agit comme un fil conducteur, liant les éléments et révélant une harmonie subtile entre chaleur, douceur et éclat fruité.

Ce dessert raconte un voyage sensoriel entre la douceur solaire de la figue et la fraîcheur éclatante de la fraise, où la gourmandise se fait poésie. Chaque bouchée est une invitation à savourer le temps, à explorer la sensualité des textures et à se laisser transporter par un mariage parfait entre fruité, douceur et élégance liquoreuse.

Hôtel Bowmann

Petit-déjeuner, du lundi au vendredi de 07h à 10h30, week-end de 07h à 11h30.

Déjeuner, du lundi au vendredi : de 12h à 14h

Dîner, du lundi au dimanche : de 19h à 22h

99 boulevard Haussmann Paris 8ème

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