Valbiotis – Préserver sa santé et limiter les signes visibles de l’âge
Préserver sa santé et limiter les signes visibles de l’âge:
enjeux et solutions concrètes pour un vieillissement réussi
L’UNION DE LA NATURE ET DE LA SCIENCE POUR UNE SANTÉ PRÉSERVÉE
Le vieillissement en bonne santé est devenu un enjeu central de bien-être, d’autonomie et de qualité de vie. Préserver son énergie, sa mobilité et limiter les signes visibles de l’âge repose sur une approche globale du corps et de ses besoins.
Avec l’âge, notre peau et notre organisme évoluent naturellement, ce qui est souvent interprété comme une perte de vitalité. Pourtant, ces transformations peuvent être atténuées grâce à des choix de vie adaptés : alimentation équilibrée, activité physique, sommeil réparateur et complémentation nutritionnelle ciblée.
Parmi les solutions reconnues, la supplémentation en collagène se distingue.
Présente dans la peau, les articulations et les tissus conjonctifs, cette protéine essentielle diminue dès 25 ans, accélérant ainsi les signes de l’âge. Soutenue par des actifs comme l’acide hyaluronique, la vitamine C et l’harpagophytum, elle devient un véritable allié pour préserver la fermeté de la peau, souplesse et confort articulaire.
Vieillir n’est pas une fatalité : c’est un processus à accompagner avec justesse. Ce dossier explore les enjeux et leviers concrets pour traverser le temps en pleine santé.
LE VIEILLISSEMENT :
un défi intime et sociétal
PLUS DE LA MOITIÉ
des Français expriment un malaise avec leur apparence physique (1)
67% des hommes se déclarent satisfaits de leur apparence
seulement 40% des femmes partagent ce sentiment
89% des femmes de plus de 50 ans ressentent un complexe lié au vieillissement sur au moins une partie de leur corps.
75% des Françaises constatent une prise de poids à la ménopause (2)
39% des femmes ménopausées déclarent une baisse de moral liée à ces changements.
Les zones les plus concernées par ces complexes sont :
- 75% le ventre
- 64% les bras
- 61% le visage
2 femmes/3 se disent complexées par une partie de leur physique, quel que soit leur âge (3)
1 homme/3 n’aime pas son corps, avec un pic d’insatisfaction qui se situe entre 50 et 64 ans, où
2 hommes/5se déclarent insatisfaits de leur apparence (1)
(1) Étude Ifop pour Voyage avec nous, septembre 2023. 2 Enquête IFOP pour Humasana. 3 Étude YouGov
Ces chiffres illustrent à quel point le vieillissement du corps reste un sujet sensible, souvent vécu en silence. Si les progrès médicaux permettent aujourd’hui de mieux accompagner certaines étapes physiologiques comme la ménopause, les enjeux liés à l’image de soi et à la pression sociale persistent – pour les femmes comme pour les hommes.
Le corps féminin, longtemps associé à la jeunesse, à la vitalité et à la performance, peine encore à s’affirmer dans sa maturité.
Le vieillissement, bien qu’universel, n’est pas perçu ni vécu de la même manière selon le genre.
Chez les femmes, il est souvent davantage scruté, jugé, intériorisé. C’est à la croisée de ces regards et de ces ressentis que s’expriment les complexes, mais aussi de nouvelles aspirations.
Les hommes ne sont pas épargnés. Si leur rapport au corps est moins exposé, il n’en est pas moins fragilisé avec l’âge. Nombreux
sont ceux qui, notamment entre 50 et 64 ans, expriment une insatisfaction croissante face aux transformations physiques. Pourtant, les injonctions sociales les poussent souvent à taire ce mal-être, par crainte de paraître vulnérables ou en décalage avec des normes de virilité encore ancrées.
Leur inconfort reste souvent invisible, ce qui renforce le tabou autour du sujet.
Aujourd’hui, de plus en plus de femmes et d’hommes revendiquent le droit à un vieillissement assumé, libre, apaisé.
Ils aspirent à une meilleure reconnaissance de leur parcours, de leur valeur, et à une société qui valorise l’expérience autant que l’apparence. Vieillir ne doit plus être perçu comme une perte, mais comme une transformation à accompagner avec justesse et
bienveillance.
Cette prise de conscience invite à penser des solutions concrètes, à la fois pour préserver la santé, mais aussi pour répondre aux besoins physiques, psychologiques et sociaux des individus. Car bien vieillir, c’est aussi bien vivre – à tout âge, et pour chacun.
LE COLLAGÈNE : une protéine clé
du vieillissement
Parmi les solutions plébiscitées pour accompagner un vieillissement harmonieux, certains actifs ont fait leurs preuves au fil du temps. Le collagène, en particulier, connaît aujourd’hui un regain d’intérêt, tant en cosmétique qu’en compléments alimentaires.
Cette protéine essentielle, au cœur de la structure de notre peau et de nos articulations, suscite un engouement croissant.
A. Qu’est-ce que le collagène ?
Le collagène est une protéine de structure qui représente environ 30% des protéines totales du corps humain.
Présente principalement dans les tissus conjonctifs tels que les tendons, ligaments, peau et os, elle joue un rôle fondamental dans la cohésion et la résistance des différents tissus du corps.
Il existe de nombreux types de collagène, mais trois dominent :
- Le type I, le plus abondant, environ 90% du collagène de l’organisme, est présent dans la peau, les tendons et les os.
- Le type II, spécifique aux cartilages.
- Le type III, qui accompagne souvent le type I dans les tissus mous.
B. La diminution du collagène avec l’âge
La production naturelle de collagène commence à ralentir dès l’âge de 25 ans, avec une perte estimée entre 1 % et 1,5 % par an.
Ce processus s’accélère avec les changements hormonaux, le stress oxydatif, l’exposition aux UV, une alimentation déséquilibrée, ou encore le tabagisme.
À mesure que les années passent, cette réduction a des effets visibles et sensibles sur l’ensemble de l’organisme.
Au niveau de la peau, le collagène est un composant essentiel de la structure du derme. Il assure la fermeté, la souplesse et l’élasticité de la peau. Lorsque sa production diminue, la peau devient plus fine, moins dense, et moins élastique.
Résultat : les premières rides apparaissent, les traits se relâchent et l’éclat naturel de la peau s’atténue. La perte de collagène est ainsi l’un des facteurs clés du vieillissement cutané, accentué par les agressions extérieures.
Moins visible, mais tout aussi importante, la diminution du collagène affecte également les articulations. Présent en grande
quantité dans les cartilages, le collagène de type II contribue à leur souplesse et à leur capacité d’amortissement.
Avec l’âge, les cartilages perdent en densité et en élasticité. Cela peut se traduire par une raideur articulaire, une gêne dans les mouvements, voire des douleurs chroniques.
Questions au Dr Véronique Gassia
Dermatologue – Toulouse
- Comment distinguer une peau qui manque de collagène d’une peau simplement déshydratée ou fatiguée ?
Une peau déshydratée est une peau dont la barrière cutanée lipidique est altérée, elle se caractérise par une rugosité, parfois une desquamation, une sensibilité aux agressions climatiques ou chimiques et un aspect terne avec éventuelle visibilité de fines ridules alors qu’un manque de collagène va entraîner une un relâchement, une perte de densité, de fermeté et d’élasticité avec visibilité de rides plus profondes. Le terme « fatigué » n’est pas adapté à la peau. Les deux états sont souvent associés dans le vieillissement cutané.
- Quelle place donnez-vous à la prévention dans le vieillissement cutané, notamment dès 30 ou 40 ans ?
La prévention est indispensable dès le plus jeune âge, avec notamment la protection solaire, ainsi que l’hydratation qui permet de maintenir une barrière cutanée en bonne santé (éviction des facteurs de déshydratation), ainsi qu’une hygiène de vie saine (sommeil, alimentation équilibrée, activité physique régulière, gestion du stress). La routine cosmétique de base sera enrichie d’un topique anti-oxydant le matin et d’actifs anti-âge le soir (rétinol… AHA…) Dès l’apparition des premiers signes, on va prévenir d’une part avec des techniques régénératives (microneedling, mésothérapie, RF, Lasers, peelings…) et par la correction des premières rides (botox et acide hyaluronique): c’est la préjuvénation.
- Quelles sont, selon vous, les stratégies les plus efficaces (soins topiques, nutrition, compléments) pour préserver ou stimuler la production naturelle de collagène ?
On va agir sur les facteurs qui activent la dégradation du collagène et sur la néocollagènese
en stimulant les fibroblastes. La prise en charge sera donc holistique.
PRÉSERVER SON CAPITAL SANTÉ
grâce à la complémentation
Avec l’âge ou dans certaines situations (stress, déséquilibres alimentaires, exposition prolongée au soleil), les apports naturels en nutriments peuvent s’avérer insuffisants.
C’est là qu’intervient la complémentation nutritionnelle.
Des compléments à base de peptides de collagène marin, associés à de la vitamine C, de l’harpagophytum ou encore du magnésium, soutiennent la synthèse naturelle de collagène et la protection cellulaire contre le stress oxydatif. Ces formulations agissent à la fois sur la fermeté cutanée et le confort articulaire.
A. Comment bien choisir le collagène ?
- Une forme hydrolysée (peptides de collagène) : Le collagène doit être hydrolysé, c’est-à-dire prédigéré en peptides de petite taille. Cette forme facilite l’absorption intestinale et permet un passage rapide dans la circulation sanguine.
- Un faible poids moléculaire : Plus les peptides sont petits, plus ils sont biodisponibles. Un poids moléculaire bas
(idéalement autour de 2–3 kDa) garantit une assimilation optimale par l’organisme. - Un dosage efficace : Les études cliniques suggèrent un dosage quotidien compris entre 2,5 g et 10g de peptides de collagène pour obtenir des résultats visibles sur la peau, les articulations ou les os.
- Une efficacité prouvée cliniquement : Il est essentiel de choisir un collagène dont l’efficacité a été démontrée par des
études scientifiques rigoureuses. Certaines marques, comme Naticol®, proposent des peptides de collagène marin hautement purifiés et validés cliniquement.
À SAVOIR
Il existe plusieurs sources de collagène
- Collagène bovin : extrait principalement de la peau ou des os de bovins.
Il est riche en type I et III, mais parfois moins bien toléré ou assimilé selon les individus. - Collagène marin : issu de la peau ou des arêtes de poissons, il est particulièrement riche en collagène de type I, celui que l’on retrouve majoritairement dans la peau.
- Collagène dit «végétal» : il ne s’agit en réalité pas de vrai collagène (qui n’existe que dans les tissus animaux), mais plutôt d’ingrédients végétaux censés stimuler la production endogène de collagène (ex. : extraits de plantes, vitamines, acides aminés). Ils peuvent être intéressants en complément, mais ne remplacent pas les peptides de collagène.
Le collagène marin est aujourd’hui considéré comme la source la plus qualitative, en raison de sa pureté, de sa richesse en acides aminés spécifiques et de son profil hypoallergénique.
B. L’association d’actifs reconnus pour la peau et les articulations
L’efficacité du collagène est optimisée lorsqu’il est combiné à des micronutriments ciblés, qui soutiennent sa synthèse, sa stabilisation dans les tissus, ou protègent les cellules du vieillissement. Tour d’horizon de ces ingrédients clés et leurs bénéfices santé validés par la recherche scientifique.
- La Vitamine C : un cofacteur indispensable à la synthèse du collagène
La vitamine C (acide ascorbique) est essentielle pour la biosynthèse du collagène. Elle agit comme cofacteur pour les enzymes prolyl et lysyl hydroxylases, indispensables à la stabilisation de la structure en triple hélice du collagène.
Par ailleurs, elle est un antioxydant majeur, neutralisant les radicaux libres et réduisant les dommages oxydatifs, un des facteurs principaux de la dégradation du collagène avec l’âge.
• L’acide hyaluronique : hydratation et élasticité cutanée
L’acide hyaluronique est un glycosaminoglycane naturellement présent dans le tissu conjonctif, en particulier dans la matrice extracellulaire du derme. Il possède une capacité exceptionnelle à retenir l’eau – jusqu’à 1 000 fois son poids.
Différents essais cliniques ont montré qu’une supplémentation orale en acide hyaluronique améliore l’hydratation de la peau, son élasticité, et réduit la profondeur des rides.
• La vitamine E : protectrice du collagène face au stress oxydatif
La vitamine E (alpha-tocophérol) est l’un des principaux antioxydants liposolubles de l’organisme. Elle protège les membranes cellulaires et les composants lipidiques des tissus conjonctifs contre l’oxydation.
Différentes études ont démontré que la vitamine E protège les fibroblastes des dommages induits par les radicaux libres,
ralentissant ainsi la dégradation du collagène dermique.
Elle agit en synergie avec la vitamine C pour régénérer l’état réduit de l’antioxydant, renforçant ainsi leur action combinée.
• Le magnésium : soutien neuromusculaire et anti-stress
Le magnésium intervient dans plus de 300 réactions enzymatiques, y compris celles liées à la contraction musculaire et à la transmission nerveuse. Il joue aussi un rôle indirect sur la synthèse protéique, y compris celle du collagène.
• Glucosamine : soutien structurel du cartilage
La glucosamine est un aminomonosaccharide impliqué dans la biosynthèse des glycosaminoglycanes (GAG), composants fondamentaux du cartilage articulaire. Elle agit en synergie avec le collagène de type II pour renforcer la matrice cartilagineuse.
• Harpagophytum : confort articulaire naturel
L’harpagophytum procumbens, ou griffe du diable, est une plante médicinale traditionnellement utilisée en phytothérapie pour soulager les douleurs articulaires et musculaires.
NUTRITION, SOMMEIL, ACTIVITÉ
PHYSIQUE : les clés du bien vieillir
Le vieillissement est un phénomène naturel, mais il peut être accompagné en douceur grâce à une hygiène de vie globale et des gestes préventifs adaptés. Aujourd’hui, de nombreuses études convergent vers une évidence : vieillir en bonne santé repose sur quatre piliers fondamentaux:
- la nutrition,
- l’activité physique,
- le sommeil,
- et, dans certains cas, une complémentation ciblée.
A. Une nutrition anti-âge et régénérante
L’alimentation joue un rôle central dans le maintien des fonctions vitales et la régénération des tissus.
Une alimentation riche en protéines de qualité, vitamines (notamment C, E, A), oligo-éléments (zinc, sélénium, cuivre), et antioxydants aide à préserver le collagène naturellement présent dans l’organisme.
Les fruits et légumes colorés, les légumineuses, les poissons gras ou encore les graines sont de véritables alliés pour soutenir l’élasticité de la peau, la solidité des os et la souplesse des articulations.
B. L’activité physique, un stimulant naturel
Bouger régulièrement stimule la circulation sanguine, favorise le renouvellement cellulaire, et renforce la structure musculaire
et osseuse.
L’exercice agit également sur la peau en optimisant l’oxygénation des tissus. À tout âge, une activité adaptée (marche, yoga, natation, renforcement musculaire…) permet de maintenir une posture dynamique, un teint plus lumineux et des articulations fonctionnelles.
C. Un sommeil de qualité, clé d’un vieillissement en bonne santé
Trop souvent négligé, le sommeil est une phase clé de la régénération cellulaire, notamment pour la peau et les tissus conjonctifs.
C’est la nuit que la production de collagène est la plus active. Un sommeil réparateur, profond et régulier est donc un véritable soin anti-âge naturel, qui influe sur la qualité de la peau, la mémoire, l’énergie et la santé métabolique.
Questions au Dr Isabelle de Vaugelas
Docteur en pharmacie – Diététicienne Nutritionniste
- Quel rôle joue la nutrition dans le vieillissement en bonne santé ?
L’alimentation est un levier essentiel pour bien vieillir. Elle fournit les nutriments nécessaires au bon fonctionnement du corps et à la prévention de nombreuses maladies liées à l’âge.
– Les protéines, animales et végétales, sont indispensables pour entretenir muscles, cerveau et défenses immunitaires. Une consommation équilibrée est donc primordiale.
– Le sel, consommé en excès, favorise l’hypertension et la déminéralisation osseuse. Il est important de limiter les produits transformés.
– Préserver l’équilibre acido-basique de l’organisme, en limitant les aliments acidifiants et en favorisant fruits,
légumes et herbes, est essentiel pour la santé des os.
– Les lipides, notamment les oméga-3, protègent le cœur et le cerveau. On les retrouve dans les poissons gras
et certaines huiles végétales.
– Enfin, les antioxydants et polyphénols, présents dans une alimentation variée et colorée, aident à lutter contre le vieillissement cellulaire et réduisent le risque de maladies chroniques.
- Quels sont les micronutriments clés pour soutenir la santé des articulations ? Et quels aliments les contiennent en quantité intéressante ?
Le risque articulaire avec l’âge c’est l’arthrose : elle conduit à la destruction du cartilage et une inflammation. Cela entraîne douleurs et raideurs articulaires et parfois épanchement articulaire.
Les micronutriments clés sont les suivants :
– Le collagène de type 2 qui entre dans la composition du cartilage ; il permet ainsi de retrouver un confort articulaire.
Aliments riches en collagène : bouillons d’os, poissons et viande.
– La vitamine C impliquée dans la formation du collagène.
Aliments riches en vitamine C : agrumes, poivrons rouges et verts, brocolis, kiwi et fraises.
– La glucosamine, la chondroïtine et l’acide hyaluronique sont des protéines qui entrent également dans la composition du cartilage.
Aliments riches en glucosamine et chondroïtine : Les crustacés tels que crevettes, crabes et homards et cartilage de raie ou de requin.
En cas d’inflammation articulaire :
– Les oméga 3 et la curcumine qui sont de puissants anti-inflammatoires peuvent être également particulièrement pertinents.
– Une plante connue pour la santé articulaire, l’harpagophytum, est souvent présente dans les compléments alimentaires du fait de la présence de l’harpagoside connu pour ses propriétés anti-inflammatoires et analgésiques.
Toutefois, l’harpagophytum est déconseillé en cas d’ulcères gastriques ou duodénaux, contre-indiqué en cas de calculs biliaires et des interactions avec les anticoagulants ont été signalés, restreignant ainsi son usage.
LES ENGAGEMENTS ET SOLUTIONS
du laboratoire VALBIOTIS
Depuis plus de 10 ans, nous nous engageons à préserver la santé à chaque étape de la vie, en développant des solutions nutritionnelles qui allient exigence scientifique et richesse des ingrédients. Le vieillissement, processus naturel et universel, fait pleinement partie de ce parcours.
Parce qu’il s’accompagne de transformations physiques, physiologiques et parfois psychologiques, nous avons choisi de lui accorder une attention particulière.
C’est dans cette optique que nous avons conçu deux compléments alimentaires, spécifiquement formulés pour répondre aux besoins physiologiques identifiés avec l’avancée en âge.
En cohérence avec notre exigence scientifique, ces solutions reposent sur des formules élaborées à partir d’ingrédients rigoureusement sélectionnés pour leur qualité et leurs propriétés scientifiquement reconnues. Chaque actif est choisi avec précision, afin de garantir efficacité, sécurité et respect de l’organisme.
Questions à Pascal Sirvent
CSO, Directeur scientifique PhD, HDR
- Votre formule combine le collagène avec d’autres actifs : est-ce que cela permet de renforcer son efficacité ? Et pourquoi cette synergie est-elle importante dans le cadre du vieillissement ?
Les mécanismes à l’origine du vieillissement sont multiples et complexes. Si le collagène fait l’objet de nombreuses données scientifiques, d’autres actifs d’origine naturelle ont également été étudiés et démontrent une action par des voies différentes et complémentaires. Associer ces actifs représente ainsi un atout majeur, permettant une prise en charge plus globale et synergique du vieillissement.
- Quels types d’études ou de validations scientifiques ont soutenu le développement de ces formules ?
Nous nous sommes attachés à sélectionner des actifs pour lesquels nous disposions
1/ d’études d’efficacité montrant le potentiel de l’ingrédient,
2/ d’éléments concernant la tolérance et la sécurité,
3/ d’hypothèses de mécanisme d’action crédibles issues des différentes recherches.
- En quoi l’approche scientifique de Valbiotis se distingue-t-elle dans l’accompagnement des besoins liés à l’âge ?
L’approche que nous proposons est basée sur l’efficacité et sur la transparence.
Nous utilisons des actifs de qualité, avec des éléments concrets dans la littérature scientifique permettant de définir avec précision les doses et process de préparation de chaque ingrédient. Nous proposons ainsi une synergie d’actifs associant le collagène marin breveté et cliniquement testé à des micronutriments adaptés pour des formules complètes répondant aux besoins liés à l’âge.
Valbiotis Plus® Collagène Marin Beauté
UNE SYNERGIE D’ACTIFS POUR SUBLIMER LA PEAU
- Collagène : fermeté, hydratation et éclat de la peau
- Acide hyaluronique : fort pouvoir hydratant
- Vitamine C : protège contre le stress oxydatif et contribue à la formation normale du collagène pour assurer la
fonction normale de la peau - Vitamine E : protège les cellules contre le stress oxydatif.
– 1 cuillère doseuse par jour (12 g), à dissoudre dans un grand verre d’eau
– Cure de 20 jours
COMPOSITION pour une dose de 12 g
• Peptides de collagène marin Naticol® 10 000 mg
• Acide hyaluronique 100 mg
• Vitamine C 80 mg (100% des AR*)
• Vitamine E 12 mg (100% des AR*)
* Apports de référence
Dissolution facile
Arôme naturel de fruits rouges
Haute assimilation / Bas poids molécullaire 2000 DA
PRÉCAUTIONS D’EMPLOI : Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Les compléments alimentaires ne peuvent être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré et d’un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Femmes enceintes ou allaitantes, consulter un professionnel de santé avant utilisation. Déconseillé aux personnes sous traitement anticoagulant.
Valbiotis Plus® Collagène Marin Articulations
UNE SYNERGIE D’ACTIFS POUR PRENDRE SOIN DES ARTICULATIONS
- Collagène marin breveté Naticol® : protéine structurelle naturellement présente dans le cartilage, les tendons, les ligaments et les os
- Glucosamine : constituant naturellement présent dans le cartilage.
- Harpagophytum : traditionnellement utilisé pour favoriser le confort et la flexibilité articulaire
- Vitamine C : contribue à la formation normale du collagène pour assurer la fonction normale des cartilages et des os
- Magnésium : contribue à une fonction musculaire normale.
– 1 cuillère doseuse par jour (13 g), à dissoudre dans un grand verre d’eau
– Cure de 20 jours
COMPOSITION pour une dose de 13 g
• Peptides de collagène marin Naticol® 10 000 mg
• Sulfate de glucosamine 500 mg
• Extrait d’harpagophytum 200 mg
• Magnésium 100 mg (26,6% des AR*)
• Vitamine C 80 mg (100% des AR*)
* Apports de référence
Dissolution facile
Arôme naturel
de fruits rouges
Haute assimilation / Bas poids molécullaire 2000 DA
PRÉCAUTIONS D’EMPLOI : Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Les compléments alimentaires ne peuvent être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré et d’un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants.
Déconseillé aux personnes diabétiques ou pré-diabétiques, asthmatiques, traitées par anti-vitamine K, aux personnes présentant une allergie alimentaire aux crustacés ou aux insectes, aux personnes dont l’alimentation est contrôlée pour le sodium, le potassium ou le calcium.
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Réservé à l’adulte. Déconseillé en cas d’ulcère gastro-duodénal ou de troubles biliaires.www.valbiotis.com
Valbiotis – Préserver sa santé et limiter les signes visibles de l’âge
By Christel Engström
Préserver sa santé et limiter les signes visibles de l’âge: enjeux et solutions concrètes pour un vieillissement réussi L’UNION DE LA NATURE ET DE LA SCIENCE POUR UNE SANTÉ PRÉSERVÉE Le vieillissement en bonne santé est devenu un enjeu central de bien-être, d’autonomie et de qualité de vie. Préserver son énergie, sa mobilité et limiter […]
Préserver sa santé et limiter les signes visibles de l’âge:
enjeux et solutions concrètes pour un vieillissement réussi
L’UNION DE LA NATURE ET DE LA SCIENCE POUR UNE SANTÉ PRÉSERVÉE
Le vieillissement en bonne santé est devenu un enjeu central de bien-être, d’autonomie et de qualité de vie. Préserver son énergie, sa mobilité et limiter les signes visibles de l’âge repose sur une approche globale du corps et de ses besoins.
Avec l’âge, notre peau et notre organisme évoluent naturellement, ce qui est souvent interprété comme une perte de vitalité. Pourtant, ces transformations peuvent être atténuées grâce à des choix de vie adaptés : alimentation équilibrée, activité physique, sommeil réparateur et complémentation nutritionnelle ciblée.
Parmi les solutions reconnues, la supplémentation en collagène se distingue.
Présente dans la peau, les articulations et les tissus conjonctifs, cette protéine essentielle diminue dès 25 ans, accélérant ainsi les signes de l’âge. Soutenue par des actifs comme l’acide hyaluronique, la vitamine C et l’harpagophytum, elle devient un véritable allié pour préserver la fermeté de la peau, souplesse et confort articulaire.
Vieillir n’est pas une fatalité : c’est un processus à accompagner avec justesse. Ce dossier explore les enjeux et leviers concrets pour traverser le temps en pleine santé.
LE VIEILLISSEMENT :
un défi intime et sociétal
PLUS DE LA MOITIÉ
des Français expriment un malaise avec leur apparence physique (1)
67% des hommes se déclarent satisfaits de leur apparence
seulement 40% des femmes partagent ce sentiment
89% des femmes de plus de 50 ans ressentent un complexe lié au vieillissement sur au moins une partie de leur corps.
75% des Françaises constatent une prise de poids à la ménopause (2)
39% des femmes ménopausées déclarent une baisse de moral liée à ces changements.
Les zones les plus concernées par ces complexes sont :
- 75% le ventre
- 64% les bras
- 61% le visage
2 femmes/3 se disent complexées par une partie de leur physique, quel que soit leur âge (3)
1 homme/3 n’aime pas son corps, avec un pic d’insatisfaction qui se situe entre 50 et 64 ans, où
2 hommes/5se déclarent insatisfaits de leur apparence (1)
(1) Étude Ifop pour Voyage avec nous, septembre 2023. 2 Enquête IFOP pour Humasana. 3 Étude YouGov
Ces chiffres illustrent à quel point le vieillissement du corps reste un sujet sensible, souvent vécu en silence. Si les progrès médicaux permettent aujourd’hui de mieux accompagner certaines étapes physiologiques comme la ménopause, les enjeux liés à l’image de soi et à la pression sociale persistent – pour les femmes comme pour les hommes.
Le corps féminin, longtemps associé à la jeunesse, à la vitalité et à la performance, peine encore à s’affirmer dans sa maturité.
Le vieillissement, bien qu’universel, n’est pas perçu ni vécu de la même manière selon le genre.
Chez les femmes, il est souvent davantage scruté, jugé, intériorisé. C’est à la croisée de ces regards et de ces ressentis que s’expriment les complexes, mais aussi de nouvelles aspirations.
Les hommes ne sont pas épargnés. Si leur rapport au corps est moins exposé, il n’en est pas moins fragilisé avec l’âge. Nombreux
sont ceux qui, notamment entre 50 et 64 ans, expriment une insatisfaction croissante face aux transformations physiques. Pourtant, les injonctions sociales les poussent souvent à taire ce mal-être, par crainte de paraître vulnérables ou en décalage avec des normes de virilité encore ancrées.
Leur inconfort reste souvent invisible, ce qui renforce le tabou autour du sujet.
Aujourd’hui, de plus en plus de femmes et d’hommes revendiquent le droit à un vieillissement assumé, libre, apaisé.
Ils aspirent à une meilleure reconnaissance de leur parcours, de leur valeur, et à une société qui valorise l’expérience autant que l’apparence. Vieillir ne doit plus être perçu comme une perte, mais comme une transformation à accompagner avec justesse et
bienveillance.
Cette prise de conscience invite à penser des solutions concrètes, à la fois pour préserver la santé, mais aussi pour répondre aux besoins physiques, psychologiques et sociaux des individus. Car bien vieillir, c’est aussi bien vivre – à tout âge, et pour chacun.
LE COLLAGÈNE : une protéine clé
du vieillissement
Parmi les solutions plébiscitées pour accompagner un vieillissement harmonieux, certains actifs ont fait leurs preuves au fil du temps. Le collagène, en particulier, connaît aujourd’hui un regain d’intérêt, tant en cosmétique qu’en compléments alimentaires.
Cette protéine essentielle, au cœur de la structure de notre peau et de nos articulations, suscite un engouement croissant.
A. Qu’est-ce que le collagène ?
Le collagène est une protéine de structure qui représente environ 30% des protéines totales du corps humain.
Présente principalement dans les tissus conjonctifs tels que les tendons, ligaments, peau et os, elle joue un rôle fondamental dans la cohésion et la résistance des différents tissus du corps.
Il existe de nombreux types de collagène, mais trois dominent :
- Le type I, le plus abondant, environ 90% du collagène de l’organisme, est présent dans la peau, les tendons et les os.
- Le type II, spécifique aux cartilages.
- Le type III, qui accompagne souvent le type I dans les tissus mous.
B. La diminution du collagène avec l’âge
La production naturelle de collagène commence à ralentir dès l’âge de 25 ans, avec une perte estimée entre 1 % et 1,5 % par an.
Ce processus s’accélère avec les changements hormonaux, le stress oxydatif, l’exposition aux UV, une alimentation déséquilibrée, ou encore le tabagisme.
À mesure que les années passent, cette réduction a des effets visibles et sensibles sur l’ensemble de l’organisme.
Au niveau de la peau, le collagène est un composant essentiel de la structure du derme. Il assure la fermeté, la souplesse et l’élasticité de la peau. Lorsque sa production diminue, la peau devient plus fine, moins dense, et moins élastique.
Résultat : les premières rides apparaissent, les traits se relâchent et l’éclat naturel de la peau s’atténue. La perte de collagène est ainsi l’un des facteurs clés du vieillissement cutané, accentué par les agressions extérieures.
Moins visible, mais tout aussi importante, la diminution du collagène affecte également les articulations. Présent en grande
quantité dans les cartilages, le collagène de type II contribue à leur souplesse et à leur capacité d’amortissement.
Avec l’âge, les cartilages perdent en densité et en élasticité. Cela peut se traduire par une raideur articulaire, une gêne dans les mouvements, voire des douleurs chroniques.
Questions au Dr Véronique Gassia
Dermatologue – Toulouse
- Comment distinguer une peau qui manque de collagène d’une peau simplement déshydratée ou fatiguée ?
Une peau déshydratée est une peau dont la barrière cutanée lipidique est altérée, elle se caractérise par une rugosité, parfois une desquamation, une sensibilité aux agressions climatiques ou chimiques et un aspect terne avec éventuelle visibilité de fines ridules alors qu’un manque de collagène va entraîner une un relâchement, une perte de densité, de fermeté et d’élasticité avec visibilité de rides plus profondes. Le terme « fatigué » n’est pas adapté à la peau. Les deux états sont souvent associés dans le vieillissement cutané.
- Quelle place donnez-vous à la prévention dans le vieillissement cutané, notamment dès 30 ou 40 ans ?
La prévention est indispensable dès le plus jeune âge, avec notamment la protection solaire, ainsi que l’hydratation qui permet de maintenir une barrière cutanée en bonne santé (éviction des facteurs de déshydratation), ainsi qu’une hygiène de vie saine (sommeil, alimentation équilibrée, activité physique régulière, gestion du stress). La routine cosmétique de base sera enrichie d’un topique anti-oxydant le matin et d’actifs anti-âge le soir (rétinol… AHA…) Dès l’apparition des premiers signes, on va prévenir d’une part avec des techniques régénératives (microneedling, mésothérapie, RF, Lasers, peelings…) et par la correction des premières rides (botox et acide hyaluronique): c’est la préjuvénation.
- Quelles sont, selon vous, les stratégies les plus efficaces (soins topiques, nutrition, compléments) pour préserver ou stimuler la production naturelle de collagène ?
On va agir sur les facteurs qui activent la dégradation du collagène et sur la néocollagènese
en stimulant les fibroblastes. La prise en charge sera donc holistique.
PRÉSERVER SON CAPITAL SANTÉ
grâce à la complémentation
Avec l’âge ou dans certaines situations (stress, déséquilibres alimentaires, exposition prolongée au soleil), les apports naturels en nutriments peuvent s’avérer insuffisants.
C’est là qu’intervient la complémentation nutritionnelle.
Des compléments à base de peptides de collagène marin, associés à de la vitamine C, de l’harpagophytum ou encore du magnésium, soutiennent la synthèse naturelle de collagène et la protection cellulaire contre le stress oxydatif. Ces formulations agissent à la fois sur la fermeté cutanée et le confort articulaire.
A. Comment bien choisir le collagène ?
- Une forme hydrolysée (peptides de collagène) : Le collagène doit être hydrolysé, c’est-à-dire prédigéré en peptides de petite taille. Cette forme facilite l’absorption intestinale et permet un passage rapide dans la circulation sanguine.
- Un faible poids moléculaire : Plus les peptides sont petits, plus ils sont biodisponibles. Un poids moléculaire bas
(idéalement autour de 2–3 kDa) garantit une assimilation optimale par l’organisme. - Un dosage efficace : Les études cliniques suggèrent un dosage quotidien compris entre 2,5 g et 10g de peptides de collagène pour obtenir des résultats visibles sur la peau, les articulations ou les os.
- Une efficacité prouvée cliniquement : Il est essentiel de choisir un collagène dont l’efficacité a été démontrée par des
études scientifiques rigoureuses. Certaines marques, comme Naticol®, proposent des peptides de collagène marin hautement purifiés et validés cliniquement.
À SAVOIR
Il existe plusieurs sources de collagène
- Collagène bovin : extrait principalement de la peau ou des os de bovins.
Il est riche en type I et III, mais parfois moins bien toléré ou assimilé selon les individus. - Collagène marin : issu de la peau ou des arêtes de poissons, il est particulièrement riche en collagène de type I, celui que l’on retrouve majoritairement dans la peau.
- Collagène dit «végétal» : il ne s’agit en réalité pas de vrai collagène (qui n’existe que dans les tissus animaux), mais plutôt d’ingrédients végétaux censés stimuler la production endogène de collagène (ex. : extraits de plantes, vitamines, acides aminés). Ils peuvent être intéressants en complément, mais ne remplacent pas les peptides de collagène.
Le collagène marin est aujourd’hui considéré comme la source la plus qualitative, en raison de sa pureté, de sa richesse en acides aminés spécifiques et de son profil hypoallergénique.
B. L’association d’actifs reconnus pour la peau et les articulations
L’efficacité du collagène est optimisée lorsqu’il est combiné à des micronutriments ciblés, qui soutiennent sa synthèse, sa stabilisation dans les tissus, ou protègent les cellules du vieillissement. Tour d’horizon de ces ingrédients clés et leurs bénéfices santé validés par la recherche scientifique.
- La Vitamine C : un cofacteur indispensable à la synthèse du collagène
La vitamine C (acide ascorbique) est essentielle pour la biosynthèse du collagène. Elle agit comme cofacteur pour les enzymes prolyl et lysyl hydroxylases, indispensables à la stabilisation de la structure en triple hélice du collagène.
Par ailleurs, elle est un antioxydant majeur, neutralisant les radicaux libres et réduisant les dommages oxydatifs, un des facteurs principaux de la dégradation du collagène avec l’âge.
• L’acide hyaluronique : hydratation et élasticité cutanée
L’acide hyaluronique est un glycosaminoglycane naturellement présent dans le tissu conjonctif, en particulier dans la matrice extracellulaire du derme. Il possède une capacité exceptionnelle à retenir l’eau – jusqu’à 1 000 fois son poids.
Différents essais cliniques ont montré qu’une supplémentation orale en acide hyaluronique améliore l’hydratation de la peau, son élasticité, et réduit la profondeur des rides.
• La vitamine E : protectrice du collagène face au stress oxydatif
La vitamine E (alpha-tocophérol) est l’un des principaux antioxydants liposolubles de l’organisme. Elle protège les membranes cellulaires et les composants lipidiques des tissus conjonctifs contre l’oxydation.
Différentes études ont démontré que la vitamine E protège les fibroblastes des dommages induits par les radicaux libres,
ralentissant ainsi la dégradation du collagène dermique.
Elle agit en synergie avec la vitamine C pour régénérer l’état réduit de l’antioxydant, renforçant ainsi leur action combinée.
• Le magnésium : soutien neuromusculaire et anti-stress
Le magnésium intervient dans plus de 300 réactions enzymatiques, y compris celles liées à la contraction musculaire et à la transmission nerveuse. Il joue aussi un rôle indirect sur la synthèse protéique, y compris celle du collagène.
• Glucosamine : soutien structurel du cartilage
La glucosamine est un aminomonosaccharide impliqué dans la biosynthèse des glycosaminoglycanes (GAG), composants fondamentaux du cartilage articulaire. Elle agit en synergie avec le collagène de type II pour renforcer la matrice cartilagineuse.
• Harpagophytum : confort articulaire naturel
L’harpagophytum procumbens, ou griffe du diable, est une plante médicinale traditionnellement utilisée en phytothérapie pour soulager les douleurs articulaires et musculaires.
NUTRITION, SOMMEIL, ACTIVITÉ
PHYSIQUE : les clés du bien vieillir
Le vieillissement est un phénomène naturel, mais il peut être accompagné en douceur grâce à une hygiène de vie globale et des gestes préventifs adaptés. Aujourd’hui, de nombreuses études convergent vers une évidence : vieillir en bonne santé repose sur quatre piliers fondamentaux:
- la nutrition,
- l’activité physique,
- le sommeil,
- et, dans certains cas, une complémentation ciblée.
A. Une nutrition anti-âge et régénérante
L’alimentation joue un rôle central dans le maintien des fonctions vitales et la régénération des tissus.
Une alimentation riche en protéines de qualité, vitamines (notamment C, E, A), oligo-éléments (zinc, sélénium, cuivre), et antioxydants aide à préserver le collagène naturellement présent dans l’organisme.
Les fruits et légumes colorés, les légumineuses, les poissons gras ou encore les graines sont de véritables alliés pour soutenir l’élasticité de la peau, la solidité des os et la souplesse des articulations.
B. L’activité physique, un stimulant naturel
Bouger régulièrement stimule la circulation sanguine, favorise le renouvellement cellulaire, et renforce la structure musculaire
et osseuse.
L’exercice agit également sur la peau en optimisant l’oxygénation des tissus. À tout âge, une activité adaptée (marche, yoga, natation, renforcement musculaire…) permet de maintenir une posture dynamique, un teint plus lumineux et des articulations fonctionnelles.
C. Un sommeil de qualité, clé d’un vieillissement en bonne santé
Trop souvent négligé, le sommeil est une phase clé de la régénération cellulaire, notamment pour la peau et les tissus conjonctifs.
C’est la nuit que la production de collagène est la plus active. Un sommeil réparateur, profond et régulier est donc un véritable soin anti-âge naturel, qui influe sur la qualité de la peau, la mémoire, l’énergie et la santé métabolique.
Questions au Dr Isabelle de Vaugelas
Docteur en pharmacie – Diététicienne Nutritionniste
- Quel rôle joue la nutrition dans le vieillissement en bonne santé ?
L’alimentation est un levier essentiel pour bien vieillir. Elle fournit les nutriments nécessaires au bon fonctionnement du corps et à la prévention de nombreuses maladies liées à l’âge.
– Les protéines, animales et végétales, sont indispensables pour entretenir muscles, cerveau et défenses immunitaires. Une consommation équilibrée est donc primordiale.
– Le sel, consommé en excès, favorise l’hypertension et la déminéralisation osseuse. Il est important de limiter les produits transformés.
– Préserver l’équilibre acido-basique de l’organisme, en limitant les aliments acidifiants et en favorisant fruits,
légumes et herbes, est essentiel pour la santé des os.
– Les lipides, notamment les oméga-3, protègent le cœur et le cerveau. On les retrouve dans les poissons gras
et certaines huiles végétales.
– Enfin, les antioxydants et polyphénols, présents dans une alimentation variée et colorée, aident à lutter contre le vieillissement cellulaire et réduisent le risque de maladies chroniques.
- Quels sont les micronutriments clés pour soutenir la santé des articulations ? Et quels aliments les contiennent en quantité intéressante ?
Le risque articulaire avec l’âge c’est l’arthrose : elle conduit à la destruction du cartilage et une inflammation. Cela entraîne douleurs et raideurs articulaires et parfois épanchement articulaire.
Les micronutriments clés sont les suivants :
– Le collagène de type 2 qui entre dans la composition du cartilage ; il permet ainsi de retrouver un confort articulaire.
Aliments riches en collagène : bouillons d’os, poissons et viande.
– La vitamine C impliquée dans la formation du collagène.
Aliments riches en vitamine C : agrumes, poivrons rouges et verts, brocolis, kiwi et fraises.
– La glucosamine, la chondroïtine et l’acide hyaluronique sont des protéines qui entrent également dans la composition du cartilage.
Aliments riches en glucosamine et chondroïtine : Les crustacés tels que crevettes, crabes et homards et cartilage de raie ou de requin.
En cas d’inflammation articulaire :
– Les oméga 3 et la curcumine qui sont de puissants anti-inflammatoires peuvent être également particulièrement pertinents.
– Une plante connue pour la santé articulaire, l’harpagophytum, est souvent présente dans les compléments alimentaires du fait de la présence de l’harpagoside connu pour ses propriétés anti-inflammatoires et analgésiques.
Toutefois, l’harpagophytum est déconseillé en cas d’ulcères gastriques ou duodénaux, contre-indiqué en cas de calculs biliaires et des interactions avec les anticoagulants ont été signalés, restreignant ainsi son usage.
LES ENGAGEMENTS ET SOLUTIONS
du laboratoire VALBIOTIS
Depuis plus de 10 ans, nous nous engageons à préserver la santé à chaque étape de la vie, en développant des solutions nutritionnelles qui allient exigence scientifique et richesse des ingrédients. Le vieillissement, processus naturel et universel, fait pleinement partie de ce parcours.
Parce qu’il s’accompagne de transformations physiques, physiologiques et parfois psychologiques, nous avons choisi de lui accorder une attention particulière.
C’est dans cette optique que nous avons conçu deux compléments alimentaires, spécifiquement formulés pour répondre aux besoins physiologiques identifiés avec l’avancée en âge.
En cohérence avec notre exigence scientifique, ces solutions reposent sur des formules élaborées à partir d’ingrédients rigoureusement sélectionnés pour leur qualité et leurs propriétés scientifiquement reconnues. Chaque actif est choisi avec précision, afin de garantir efficacité, sécurité et respect de l’organisme.
Questions à Pascal Sirvent
CSO, Directeur scientifique PhD, HDR
- Votre formule combine le collagène avec d’autres actifs : est-ce que cela permet de renforcer son efficacité ? Et pourquoi cette synergie est-elle importante dans le cadre du vieillissement ?
Les mécanismes à l’origine du vieillissement sont multiples et complexes. Si le collagène fait l’objet de nombreuses données scientifiques, d’autres actifs d’origine naturelle ont également été étudiés et démontrent une action par des voies différentes et complémentaires. Associer ces actifs représente ainsi un atout majeur, permettant une prise en charge plus globale et synergique du vieillissement.
- Quels types d’études ou de validations scientifiques ont soutenu le développement de ces formules ?
Nous nous sommes attachés à sélectionner des actifs pour lesquels nous disposions
1/ d’études d’efficacité montrant le potentiel de l’ingrédient,
2/ d’éléments concernant la tolérance et la sécurité,
3/ d’hypothèses de mécanisme d’action crédibles issues des différentes recherches.
- En quoi l’approche scientifique de Valbiotis se distingue-t-elle dans l’accompagnement des besoins liés à l’âge ?
L’approche que nous proposons est basée sur l’efficacité et sur la transparence.
Nous utilisons des actifs de qualité, avec des éléments concrets dans la littérature scientifique permettant de définir avec précision les doses et process de préparation de chaque ingrédient. Nous proposons ainsi une synergie d’actifs associant le collagène marin breveté et cliniquement testé à des micronutriments adaptés pour des formules complètes répondant aux besoins liés à l’âge.
Valbiotis Plus® Collagène Marin Beauté
UNE SYNERGIE D’ACTIFS POUR SUBLIMER LA PEAU
- Collagène : fermeté, hydratation et éclat de la peau
- Acide hyaluronique : fort pouvoir hydratant
- Vitamine C : protège contre le stress oxydatif et contribue à la formation normale du collagène pour assurer la
fonction normale de la peau - Vitamine E : protège les cellules contre le stress oxydatif.
– 1 cuillère doseuse par jour (12 g), à dissoudre dans un grand verre d’eau
– Cure de 20 jours
COMPOSITION pour une dose de 12 g
• Peptides de collagène marin Naticol® 10 000 mg
• Acide hyaluronique 100 mg
• Vitamine C 80 mg (100% des AR*)
• Vitamine E 12 mg (100% des AR*)
* Apports de référence
Dissolution facile
Arôme naturel de fruits rouges
Haute assimilation / Bas poids molécullaire 2000 DA
PRÉCAUTIONS D’EMPLOI : Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Les compléments alimentaires ne peuvent être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré et d’un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Femmes enceintes ou allaitantes, consulter un professionnel de santé avant utilisation. Déconseillé aux personnes sous traitement anticoagulant.
Valbiotis Plus® Collagène Marin Articulations
UNE SYNERGIE D’ACTIFS POUR PRENDRE SOIN DES ARTICULATIONS
- Collagène marin breveté Naticol® : protéine structurelle naturellement présente dans le cartilage, les tendons, les ligaments et les os
- Glucosamine : constituant naturellement présent dans le cartilage.
- Harpagophytum : traditionnellement utilisé pour favoriser le confort et la flexibilité articulaire
- Vitamine C : contribue à la formation normale du collagène pour assurer la fonction normale des cartilages et des os
- Magnésium : contribue à une fonction musculaire normale.
– 1 cuillère doseuse par jour (13 g), à dissoudre dans un grand verre d’eau
– Cure de 20 jours
COMPOSITION pour une dose de 13 g
• Peptides de collagène marin Naticol® 10 000 mg
• Sulfate de glucosamine 500 mg
• Extrait d’harpagophytum 200 mg
• Magnésium 100 mg (26,6% des AR*)
• Vitamine C 80 mg (100% des AR*)
* Apports de référence
Dissolution facile
Arôme naturel
de fruits rouges
Haute assimilation / Bas poids molécullaire 2000 DA
PRÉCAUTIONS D’EMPLOI : Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Les compléments alimentaires ne peuvent être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré et d’un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants.
Déconseillé aux personnes diabétiques ou pré-diabétiques, asthmatiques, traitées par anti-vitamine K, aux personnes présentant une allergie alimentaire aux crustacés ou aux insectes, aux personnes dont l’alimentation est contrôlée pour le sodium, le potassium ou le calcium.
Déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes. Réservé à l’adulte. Déconseillé en cas d’ulcère gastro-duodénal ou de troubles biliaires.www.valbiotis.com